samedi 31 janvier 2009
Pas touche aux oiseaux de proie!!
dimanche 25 janvier 2009
Hommes et loups en Normandie
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigEat7lHqfkWRq7k7DwzurN7nvQXUn4341Kxxj01swcHX1nvHI3b_y8w4L8R3bwDhNdGLAeWs2iPbUXupp6eHNngupA3kqxbmZ4ObE8Dt-KNm3mz7oFYuEJNoY6-lT4kzcfCEfHlyLywiL/s320/leloup3fevrierblogwb3.jpg)
Hommes et loups.Pourquoi et comment s’intéresser au loup aujourd’hui ?
Un colloque sur une journée est proposé par le Pôle Rural de la Maison de la Recherche en Sciences Humaines de Caen.
Il est organisé avec le concours du Cinéma Café des Images à Hérouville-Saint-Clair le mardi 3 février 2009 toute la journée.
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PROGRAMME du colloque.
Matin 10h-12h (Entrée libre – Réservation conseillée) :
Animation par Jean-Marc Moriceau et Philippe Madeline
• Catherine Bougy (linguiste, Caen) « Vrais et faux loups, loups perdus et loups masqués en Basse-Normandie »
• Julien Alleau (doctorant en histoire, Caen), « Loup, hommes et bétail dans les Alpes du 16e au 19e siècle »
• Farid Benhammou (géographe, Orléans) : « Une géopolitique du loup en France »
• Corinne Beck (historienne, Valenciennes) : « Les communautés paysannes et le loup en Bourgogne à la fin du Moyen Âge : la menace du loup et son contenu »
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Après-midi (Entrée libre – Réservation conseillée) : 14h30-16h15 :
• Martin Lepetit (étudiant en histoire, Caen) : « Le loup, un révélateur du fonctionnement des campagnes. L’exemple bas-normand »Film documentaire : « À pas de loup » (Bruno Vienne, 1997, 52 mn)Pause – Table de presse
16h35-18h30 :• Nicolas Lescureux (post-doctorant en ethnologie, Trondheim) : Les apports de l’ethno-éthologie à l’étude des relations entre hommes et loups.
• Antoine Doré (doctorant en sociologie, Grenoble) : « Petite leçon de vivre ensemble : les enseignements du retour des loups en France »Film documentaire : « Éleveurs et bergers face au loup » (Sylvain Menoud, 2003, 52 mn)
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Soirée (Participation : 2 € – Réservation conseillée) 20h-22h45 :
Montage audiovisuel : « La Bête du Gévaudan (1764-1767). Une énigme éclairante » (Pôle rural, 2008)
Film documentaire : « La Montagne et le Loup » (Benoît Keller, 2006, 52 mn)Le loup est de retour sur le plateau du Vercors… Menace pour les bergers et les éleveurs ? Précieux objet de protection pour les gardes ? Fascinante manifestation d’authentique pour les écologistes ? Autant de visions de la montagne....en présence du réalisateur
Pause - Table de presse 21h45-22h45 :
Débat animé par Philippe Madeline
Avec la participation de Benoît Keller (réalisateur du film), Jean-Marc Moriceau (réalisateur du montage), Farid Benhammou, Corinne Beck, Antoine Doré et Nicolas Lescureux.
samedi 24 janvier 2009
Point de vue, métier: L'illustration naturaliste.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhutMfl_3S_ns1QuSpTK4rzNgKNebEZFool48NQGfcFEoEddtQyXNdpgas_j3R78xxIwozwf7X9E76q1rqV8J3Mnke9nlhB9tTnDETlVXQLnwq5YIIE-YNjZ1Eq020tkqUXq4oPc3kcy-0/s200/Photos-0032g..jpg)
A notre époque, les temps modernes, cette quête de la classification, du recensement, a prit un tout autre essor suite à la multiplication et la libéralisation des naturalistes à travers le monde. Bien que jadis cela existait, mais à moindre ampleur.
Cette activité étant réservée principalement aux scientifiques, chercheurs envoyés à la découverte de nouvelles terres par exemple, ou des gens de la haute société tel Jean Henry FABRE au 19ème siècle, grand naturaliste que l’on associe souvent à Darwin. J’en parlerai plus tard sur le blog (une introduction de ce genre n’a jamais fait de mal).
Aujourd’hui, à l’heure où la préservation de l’environnement est un enjeu majeur au niveau mondial, les pratiques ont aussi bien changés. Je voulais donc parler d’un domaine dont l’on parle peu mais qui s’associe pourtant pour moi à la protection de la nature.
En effet, dorénavant, la photographie comme activité naturaliste se répand de plus en plus. Toutefois, il y en eut une qui résista. L’ultime alliance de l’art et de la nature entra en « guerre » contre la photographie.
L’illustration naturaliste, cette pratique artistique a vu son taux d’activité grandir au cours du 19ème siècle. Elle consiste à représenter de façon réaliste ou schématique un être vivant, un milieu ou juste une part ; à la peinture, au crayon ou même à la gravure.
De cette façon, naissent des planches qui peuvent servir alors nombres d’intérêts. Des dessins légendés pour la cause scientifique ou éducatrice par exemple.
Mais la présence de cette activité naturaliste subtilement liée à l’art, sert de nos jours beaucoup à illustrer nos livres sur la nature, nos dictionnaires. Nous, sur le terrain ou au laboratoire, GPN ou pas, apprécions (du moins ne crachons-nous pas dessus) le fait d’avoir des guides naturalistes illustrés de fort belles manières !
L’illustration naturaliste permet d’appréhender son sujet de manière très précise et détaillée, ce qui est une aubaine pour la suite pour les utilisateurs des ouvrages.
Vient hélas pour vous, le moment pour moi de parler brièvement araignée (langue très peu parler dans le monde il faut le savoir). En témoigne les fameuses illustrations de Michael J. ROBERTS dans ses ouvrages. Tout a été fait par lui, à la main et avec une précision saisissante, pour que nous, déterminateurs admirateurs de ce travail soyons dans de bonnes conditions de déterminations !
Dessiner un animal par exemple permet au dessinateur de détailler chaque particularité. Les poils, la répartition des couleurs… De fait, de manière plutôt inconsciente, celui-ci acquiert des connaissances fines en plus sur l’identification, la morphologie du sujet. Ses planches sont donc transmises pour d’autres, afin de partager ses découvertes et ses observations. L’illustrateur va aussi sur le terrain et est normalement amoureux de la nature.
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Enfin un rare domaine ou l’économie ne vient pas fourrer son nez, pourrir ou rendre difficile toute action de sensibilisation, de protection. Pas d’intérêts à servir autre que sa propre passion et sa transmission. Du moins, elle n’a pas grande emprise dessus et tant mieux ! Car même si cette activité peut-être le gagne pain, il n’en reste pas moins que c’est davantage la passion qui anime l’illustrateur qui le fait dessiner ou peindre etc…
Du reste, on peut le faire pour son propre compte après tout.
Je ne sais ce que vous en pensez et ce que cela vous inspire. Pour ma part j’associe cette activité à un herbier. La même autonomie, aucune influence ni dépendance.
Juste la passion, le savoir, la transmission.
Je voudrais savoir, ô lecteurs de cet article qui balaie les 200 mots censément à faire (oups), ce que vous en pensez. Pensez-vous qu’il y ait une vision trop idyllique de la chose ? Pensez-vous que la photographie et l’illustration sont en concurrence ou bien ne se marchent pas sur les pieds ? Enfin voilà, c’était pour avoir votre opinion, si cela est aussi à votre humble avis un moyen de protection ? Réaction ou pas, voici l’illustration naturaliste.
Rousse ou agile?
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mercredi 21 janvier 2009
Les mares : ça continue
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWG0hYqijwXfZzsCWhcsMWFxjencnXdPBFGwJZk2rCNhIMLF4Hcmu_1VqpSuVQ6efBlbOC0vPFw78700lSQwG5Kn1_vtKgDhsD7q_oGN0qU370WRYPpUVduvovLPpgPuRzf3-OxetK2jpq/s320/mardeu.jpg)
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5j5bbmjH6pdodCvgP4iPYMdwAtDTRtI-GKXniYAVxprifhvYzeMaGeGkRdDF88fGSra7-S0o7-OvxgqgmNYCChwr4svR1hQqVMapTisA3l0ojOpFYhz4yPtZRdIK2tQXWthedzxkJdPyz/s320/marin.jpg)
Le niveau maximal est actuellement atteint car le réseau de drainage brisé lors du creusement (traits blancs) qui alimente les mares les empêche de se remplir davantage.
Recherches bibliographiques, ça avance!
lundi 19 janvier 2009
Fonctionnement du blog
Ce que nous faisons, nos enfants ne pourront plus le défaire
Fervent lecteur de feu La gueule ouverte, manifestant antinucléaire à Creys-Malville en 1977, Didier Jouve est un fin connaisseur du développement durable, au sens premier du terme lorsqu'il fut évoqué pour la première fois par le rapport Bruntland en 1987. Aujourd'hui vice-président de la région Rhône-Alpes, délégué au développement durable, il accueille les 5es Assises nationales du développement durable à Lyon durant trois jours. Plus qu'ambitieuses, ces Assises tenteront de faire l'état des lieux de la planète et de l'humanité, d'ouvrir d'autres voies et d'élaborer des propositions. Le tout en 3 jours.
Les Assises du développement durable visent à redéfinir la richesse. Pourquoi ?
Cette année, les Assises visent à re-questionner la priorité de l'avoir. La crise est une vraie opportunité pour la remettre en cause. La crise, on l'a vue venir. Elle était tendancielle, elle est désormais tangible. André Gorz, Ivan Illitch, de nombreux penseurs ont écrit sur cette crise écologique, sociale, économique, à venir. Aujourd'hui, il faut veiller à ce que la société ne pourrisse pas le concept de développement durable, concept qui mérite d'être sauvagement défendu alors que certains s'en contenteraient bien pour vendre à peu de frais, avec une peinture verte toute fraîche, ce qui a été vendu dans le passé.
Quelle est votre analyse de la situation actuelle ?
Trois pilotes automatiques sont grippés. Le premier pilote automatique, c'était la croissance. Et toute une génération de responsables, qu'ils soient de droite ou de gauche, ont cru qu'il s'agissait d'une potion magique, d'un médicament général qui répondait à tout. Le pilote automatique numéro 2, c'était le marché et nombreux étaient ceux qui pensaient que tout ce qui avait attrait au public était inefficace. Le pilote numéro 3, et on n'en parle pas assez, c'était et c'est encore la religion technologique.
C'est-à-dire ?
Au XVIIIe siècle, la science nous sort de l'obscurantisme. Au XIXe siècle, la science est rachetée par l'industrie, principal mécène de l'époque. Chemin faisant, le capitalisme s'est organisé sur la prédation des ressources des autres. Et la société s'est articulée autour d'une équation quasi-religieuse : la croissance + le progrès scientifique = le bonheur.
Pourquoi cette équation a-t-elle échoué ?
La création d'une véritable religion matérialiste a conduit à une déconnexion totale entre les avancées des sciences dures, les technologies, et les sciences humaines ainsi que tout ce qui permet d'absorber les progrès scientifiques. Aujourd'hui, on manque d'argent pour développer l'épidémiologie, regardez l'état de nos botanistes en France, etc. La société n'arrive plus à suivre, ni à digérer les progrès et créations technologiques qui nous inondent. Le XXe siècle est donc le siècle de l'irresponsabilité technologique. Et on doit gérer cet héritage : celui des PCB déversés dans le Rhône, des déchets radioactifs, des 400000 substances chimiques présentes dans notre environnement et notre quotidien. Et demain, nous devrons gérer des objets dont nous n'avons pas la maîtrise : OGM, nanotechnologies etc.
Nous avons franchi une étape, et nous ne savons plus gérer la réversibilité de nos actes. Ce que nous faisons aujourd'hui, nos enfants ne pourront plus le défaire. D'après moi, la question de la réversibilité est plus importante que le principe de précaution.
Comment cela s'organise–t-il au niveau politique ?
Au niveau de la région, il faut faire entrer le développement durable dans toutes les politiques territoriales et régionales. Pour la région Rhône-Alpes, cela se traduit par plus de 200 actions dans ce sens : réformes des aides à l'habitat ou à l'énergie, priorité donnée aux circuits courts en agriculture, prise en charge à 50% de la certification bio des agriculteurs etc.
Cela nécessite des moyens que la région ne détient pas forcément…
Contrairement à ce que l'on croit, je pense qu'il ne s'agit pas de dépenser plus mais autrement. Mais aujourd'hui, nous sommes à la croisée des chemins. Je ne sais pas ce que Sarkozy envisage de faire en matière de collectivités locales. Par exemple, en ce qui concerne le Grenelle de l'environnement, on a déchargé pas mal de directives sur les autres mais personne n'a répondu à la question cruciale suivante : qui va prendre en charge le chantier ? J'attends de voir ce qu'il y aura dans la refonte fiscale, elle n'a pas encore eu lieu. Pour l'instant, les régions sont chargées de beaucoup de devoirs, sans en avoir forcément les droits.
En septembre 2003, la municipalité de Lyon accueillait un colloque sur la décroissance volontaire. Aujourd'hui, le terme est devenu tabou. Pourquoi ?
Sur le fond, nous sommes d'accord avec les défenseurs de la décroissance sur les changements à opérer, mais il existe une divergence tactique. Au moment où la crise va frapper de nombreuses personnes dans leur vie quotidienne, il est difficile de demander à ces personnes de devenir décroissantes. Le mot même de décroissance marque le repli, la descente. C'est la structure même du mot qui pose problème, pas son sens.
Quel mot vous conviendrait ?
Sobriété, simplicité volontaire, ou même décroissance de la prédation des ressources, croissance de l'accès à l'eau pour tous, de l'accès à l'éducation. Comme il faut agréger la population autour de perspectives positives, le vocabulaire a son importance. Mais sur le fond, comme je me bats contre le mot «croissance» qui est un mot indistinct, quasi-religieux, je n'ai pas envie à l'inverse d'utiliser le mot tout aussi indistinct qui est celui de «décroissance».
Maïs transgénique au Mexique. (REUTERS)
Libération - Terre 19 janv. 17h26 Recueilli par Laure Noualhat, envoyée spéciale à Lyon
lundi 12 janvier 2009
Les mares : c'est parti
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigbI_vZQtcMYmX1gtRwvDBopkieWRMdQDIsxCQeTV9hyphenhyphenx07mZqfwj2datr8hSfCrx7vk_Kr19G4ikitsIE8XckuyKBM7rDkrvpjXpLFuokHFkYZZofxLcwvoqQFnvAB4QEQXvqGE6D71zF/s400/Mare2.jpg)
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFugvTHp6UDNXfE4IszB66UMRy-t5CFBSAwOPP-FuAH4gJ4_yyQ-MDhyphenhyphenLjm8LjXa1y9WabvUyMB63qD_GFJ8nFBin1DkIp2hApdOolm2XJcWkos-Uxo-hfKGB3HzkPOVh8VsdLwOkNXjXX/s400/Mare1.jpg)
Plus d'infos dont certaines à venir sur le site du Triton crêté
Blog de l'ACEN
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgI8GTBVIs804LufYN1FlqKA1lq0Cgl3Qh15CvY8qM4JFwTV1VJpn0WlDk0Dci9Xl-rA5bMdFVRf5wngSx0QKrV9wUnrpHoZtxWY3hGx4GheVXMHeUOwcVwvLnYa_TaGM3TjXiTg1J4KEQV/s400/Sans+titre+-+1+copier.jpg)
L'association caennaise des étudiants naturalistes (ACEN) vient de mettre en place un blog à l'adresse suivante : http://acencaen.blogspot.com/
Des petites infos à glaner, des pistes à partager ?
samedi 10 janvier 2009
Club nature: inventaire araignées!
Avant les vacances de Noël, dernier ramassage des pots pièges situés sur la Lande de Goult. En tout petit comité, moi et Pierre (sous chef adjoint) des GPN1 ! Dernier ramassage un peu plus aventurier que les précédents… Au moins, cela nous aura permis de pouvoir admirer pendant une heure la dextérité d’un bras mécanique lors du débardage, bloqués derrière le camion.
Enfin bref, trêve d’infos inutiles, après cela, sont venus les vacances et les fêtes, sauf pour les pauvres petites araignées alcoolisées. Hélas pour elles, une toute petite pensée pour ces pauvres animaux qui ne verront pas l’année 2009, mais qui sont mortes pour la science.
En effet, la science prend dès à présent le pas sur le terrain. L’heure est venu de perdre la tête, de grogner façon Georgette, de « péter des câbles », et… Non je ne veux décourager personne. La détermination a commencée !
Ah quelles grandes joies que la détermination.
Aussi pour bien commencer les choses, la première véritable séance s’est effectuée en compagnie du naturaliste, Loic CHERREAU, qui étudie les araignées depuis 10 ans. Jusqu’à 22h le soir et dans une très bonne ambiance, détermination donc après un cours attractif de Loic sur les araignées. Novices et plus expérimentés mélangés, par groupes de 2. Ainsi, nous étions bien 8 à cette première séance le mardi soir.
Jeudi, on remet cela, avec quelques nouvelles têtes et sans professionnel de présent. Comme mardi cela s’est plutôt bien passé.
D’un point de vue plus concret au niveau des résultats, bonne avancée. Mardi, 37 araignées ont été déterminées, ce qui n’est pas mal quand on prend en compte les débuts difficiles d’une telle activité pour les inexpérimentés en la matière. Prêt de 8 espèces de trouvées à cette séance, et quelques unes se sont rajoutées jeudi, (70 araignées de déterminées en tout) !
Nous avons donc quelques familles de représentées pour le moment :
-Lycosidae, hélas presque toutes sont juvéniles ! Problème…
-Thomisidae ou araignées crabes.
-Tetragnathidae,
-Linyphiidae, nos meilleures amies !
-Gnaphosidae
-Hahniidae
-Clubionidae
-Aranéidae
-Agélénidae
-Pholcidae, des couloirs du lycée !
Voilà pour un premier bilan sommaire. Nous faisons avec les moyens du bord pour déterminer mais cela se passe plutôt bien.
Voici les jours où auront lieu les déterminations. Deux séances par semaine.
-Le mardi après les cours.
-La deuxième en alternant mercredi et jeudi. Pour la semaine qui arrive se sera mardi-jeudi. Donc après mardi-mercredi etc etc…
Encore beaucoup de travail à l’horizon. Pour le moment, seul le lycée est déterminé, et il en reste plus d’une centaine. Il restera ensuite la Lande de Goult à faire.
Cette semaine d’ailleurs, prévoyez de faire du tri pour les volontaires, et donc d’avoir le nez et le cerveau, comment dire… Mieux vaut ne rien dire. Il devient urgent de trier les données de la Lande de Goult pour éviter un trop mauvais état des échantillons.
Avis aux volontaires, tout le monde est invité ! Bonne humeur et ambiance garantie ! (Même M. RENAUD est invité à venir voir un de ces quatre !)
dimanche 4 janvier 2009
Happy new year (et pas de joyeux pneus)
En prime, une photo printanière des prairies humides de la Lande-de-Goult qui deviendront peut-être un de ces jours un des grands sites protégés de Basse-Normandie.